La coopération pour un développement durable et inclusif

L’épuisement des ressources naturelles, la pandémie, le numérique et les désagrégations politiques se présentent comme défis communs pour les États et leurs enjeux de coopération. L’auteure avance l’hypothèse que la logique dominante de la coopération pour le développement durable ne suit pas toujours des pistes efficaces, adoptant une approche des besoins parfois formulée au mépris de certains droits fondamentaux des personnes. Par leur valeur transversale, en tant que fins et moyens, l’approche des droits humains permet une meilleure réalisation des objectifs du développement durable, tout en renforçant leur interdépendance. Pour garantir leur performance, une méthode originale d’évaluation systémique avec des indicateurs d’interconnexion est proposée.